Bonjour à tous ! Un peu d’actualité en ce milieu de semaine : voici sur quoi je suis tombée en naviguant sur internet et qui illustre parfaitement mon article sur la différence.
Vous souvenez vous lorsque je disais que la seule différence qui existe entre un handicapé et une personne valide c’est la visibilité de ce que l’on appelle parfois trop vite « son malheur » ? Et bien le photographe Steve Rosenfield utilise cette idée dans une série de clichés nommée « What I be ».
Il y fait ressortir les blessures de ses modèles que ce soit visible :
Ou invisible :
Pour voir ses autres photos : http://www.whatibeproject.com/images/
« On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. »